Episode 4 - Arrivée à la salle des fêtes (1978)

La gazette des

              pongistes

En 1977, la section atteignait 50 adhérents. L’école de tennis de table animée par des bénévoles comportait 3 niveaux. Il y avait 6 équipes en compétition dont une en R3 (fugitivement). Le Casino d’alors paraissait trop inadapté.

C’est donc avec joie qu’en 1978, la section est allée occuper la salle des fêtes rue Jules Ferry même si la salle avait un certain âge.  La salle avait été une remise du tramway à la fin du 19ème siècle puis un centre d’appareillage pour l’hôpital militaire belge pendant la guerre 1914-1918 avant de devenir une salle de spectacles et de cinéma.

L’éclairage était un peu meilleur. La salle était plus disponible même si elle était partagée avec le théâtre ou devait laisser la place pour des manifestations comme les sapins de Noël. Les rangées de fauteuils ont limité la place plusieurs années encore avant d’être démontées, laissant alors une plus grande surface de jeu.

Tous les anciens (et surtout ceux de l’extérieur !) se souviennent de la scène, du sol un peu en pente à l’entrée, de la surface inégale avec un carrelage un peu glissant alternant avec des zones cimentées là où avaient été fixées les rangées de fauteuils.

Les équipes (sauf la D4) sont passées à 6 joueurs en 1980.

La section devait grandir. En 1981, 6 équipes (1 D1, 1D2, 1D3 et 3 D4) évoluaient en championnat avec 40 licenciés. L’équipe 1 était formée de jeunes ; l’un d’eux Patrick GOUGEON, junior, était en finale de la Coupe Populaire de Haute Normandie.
C'était le plus bosseur et celui qui est monté le plus haut se souvient Marc ESQUERRE.
Il y avait aussi Marc Zeisel, qui pour Marc ESQUERRE était un des joueurs les plus doués de cette époque.

En mai 1983, les 5 tables étaient bien occupées et un robot lanceur de balles était acheté. Marc ESQUERRE entraînait toujours les jeunes le samedi après-midi.

En 1984, Pierre VAGUET responsable depuis 1978 cessait sa fonction. Paul KOSTRMINE puis en 1989, Michel LEROY allaient prendre la suite.

A la fin des années 80, Jean Pierre Girard avait des bons résultats à l’école de tennis de table.